Ecologie - C’est la science ayant pour objet les relations des êtres vivants avec leur environnement
ainsi qu’avec les autres êtres vivants. Elle étudie les conditions d'existence et les comportements des
êtres vivants en fonction de l'équilibre biologique et de la survie des espèces. Cette science examine
les divers niveaux d’organisation de la matière vivante dans le milieu naturel et physique.
Hyper-écologie
-
Cette
notion
prend
en
compte
d’autres
niveaux
d’organisation
que
l’écologie
actuelle
n’englobe
pas,
elle
apparaît
pour
la
première
fois
en
2016
à
l’initiative
de
S.
Joubert
avec
le
sens
suivant.
Etudier
les
milieux
physiques
où
vivent
des
êtres
vivants
(écologie)
ne
suffit
plus,
sachant
que
le
milieu
déjà
partagé
avec
les
minéraux,
les
végétaux
et
les
animaux,
l’est
également
avec
des
formes
conscientes
présentes
en
d’autres
plans
dimensionnels,
terrestres
ou
non.
Plus
généralement,
l’hyper-écologie
fait cohabiter les lois physiques et non physiques pour expliquer les relations entre les êtres vivants et leur environnement.
1 - De l’information non verbale et non gestuelle, circule entre les espèces par le biais de la conscience : de l’information
circule entre l’Homme et les minéraux, les végétaux, les animaux ainsi que des formes de conscience non humaines.
2 - Cette information circule également entre les espaces : la vibration, la résonance, la télépathie, les connexions de
conscience spontanées ou crées volontairement à l’aide de moyens techniques, etc. permettent à des formes de conscience
d’échanger de l’information, sans que la distance géographique ou les lois physiques soient un obstacle.
3 - L’écologie repose sur une connaissance de la nature et de ses interactions matérielles, elle ne suffit donc plus à décrire
notre environnement naturel : une vision plus large de la façon dont la vie forme un système complexe est à l’ordre du jour.
4 - Cette vision plus large, XXL pour ainsi dire, s’appelle l’hyper-écologie. Elle engage une conscience étendue qui dépasse la
réalité physique, matérielle et tangible.
5 - Elle ne hiérarchise pas les formes de conscience, elle est surtout attentive à leurs interactions / intrications.
6 - L’Homme est l’élément parmi d’autres d’un Fil de Conscience, l’hyper-écologie est aux antipodes de l’anthropocentrisme.
7 - Elle suggère que nous vivons en situation de coprésence avec des formes conscientes et intelligentes qui ne sont pas
nous, mais avec lesquelles nous interagissons en permanence, que nous en ayons conscience ou pas.
8 - En raison de cette interaction permanente avec d’autres formes conscientes, l’hyper-écologie invite notre espèce à
adopter des comportements respectueux de cette réalité.
9 - Cette coprésence peut donner naissance à des phénomènes dits “surnaturels” ou “extraterrestres” : l’hyper-écologie
explique ces phénomènes comme des interactions de conscience dont nous n’avons pas suffisament pris la mesure.
L’hyper-écologie
apporte
donc
une
épaisseur
supplémentaire
non
physique
à
notre
vision
de
l’écologie,
mais
elle
n’en
change
pas
la logique ni la fonction. Elle amène d’autres éléments ignorés à ce jour par l’écologie actuelle.
Cette
hyperécologie
est
complexe
en
raison
de
sa
multidimensionnalité.
Elle
suppose
que
la
réalité
est
infiniment
plus
vaste
que
ce
que
notre
raison
et
nos
sens
ordinaires
admettent
habituellement,
également,
que
nos
actes,
nos
pensées
et
nos
émotions
voyagent
et
interagissent
au-delà
de
notre
milieu
terrestre
stricto
sensu.
Nos
vies
sont
solidaires
d’“Autres”’
formes
de
conscience,
formant
avec
nous-mêmes
une
boucle
d’information.
L’hyper-écologie
stipule
que
les
consciences
minérale,
végétale,
animale,
humaine
et
intra-extraterrestre
ne
sont
pas
étanches,
que
de
l’information
circule
en
permanence
et
de
façon
instantanée
de
l’une
à
l’autre,
dans
une
dimension
ou
une
autre.
Enfin,
que
le
plus
grand
leurre
de
la
modernité
fut
en
premier
lieu
de
les
séparer,
en
second
lieu
de
mettre l’Homme au centre de ses propres analyses.
Comprendre
et
ressentir
comme
pertinent
ce
qui
vient
d’être
dit,
c’est
engager
sa
conscience
dans
une
vision
à
la
fois
sensible
et
intellectuelle dépassant la tendance écologique actuelle.
Cette
hyper-écologie
est
une
brique
fondamentale
de
la
raison
et
de
la
rationalité,
elle
constitue
le
terreau
cognitif de la civilisation à venir.
a)
Elle
pense
la
chaîne
que
font
entre
eux
les
règnes
inerte, organique et subtil.
b)
Elle
envisage
que
se
forme
entre
ces
règnes
une
boucle
de
conscience
rétroactive
où
chaque
règne,
bien
que
différent
et
possédant
une
identité
propre,
demeure
solidaire des autres.
c)
Elle
part
du
principe
que
l’enchevêtrement
des
dimensions
et
des
espaces-temps
crée
à
l’occasion
des
situations
de
coprésence
que
nous
nommons
“paranormales”.
Si
ces
situations
restent
pour
nous
encore
étranges,
curieuses,
voire
effrayantes
pour
certains,
c’est
parce
que
nous
pensons
insufisamment
le réel en terme d’hyper-écologie.
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